Pour consulter les photos des différentes expositions, aller dans le menu : Galerie Zemma => Expositions Galerie 
 

Actuellement à la galerie :

31. Eastern's view today une exposition de Benoit + Bo,  東波西波,  du 15 février 2024 au 23 mars 2024 

Pour cette exposition : permanences du vendredi au samedi de 15 heures à 19 heures et sur rendez-vous  : 06 74 89 02 54 

Pour lire l'article d'Aline Memmi, publié le 16 février 2024 dans le journal Ventilo, cliquez ici

Pour regarder les photos de l'exposition, cliquez ici

 

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© Benoit + Bo , 2024

Longtemps immergés en Asie et en Chine, puis en Belgique, Benoit + Bo, duo d'artistes franco-chinois  présente pour la première fois son travail à Marseille. Les deux artistes abordent la mondialisation vue de l’Est en pratiquant un  joyeux détournement des codes de la Pop’culture asiatique. Réjouissante duperie de carnaval, la figure du masque (Happy Heads), produite à des échelles variables (un masque de 3 m de diamètre sera présenté), s’installe ou bien circule dans les espaces urbains, ou encore transfigure l’intimité professionnelle ou privative des participants lors de prises de vues en studio-photo mobile chez Marianne Cat. Pratique de l’art de la rue, mais aussi, cartographies politiques, ou encore représentation taoïste et poétique du corps, ce géo-morphisme des pratiques urbaines se pose en héritage des formes contestataires des années 1960 et 70. Par un art de la fugue, Benoit + Bo nous offre un regard savant et populaire sur une carte du monde et une Humanité en profonds bouleversements.

En partenariat avec le magasin Marianne Cat, 53 rue grignan 13006 Marseille

Pour consulter le blog de Benoit + Bo, cliquer ici

Vernissage jeudi 15 février 2024 à partir de 18h30 

Expositions passées :  :  

30. Figure n°9, une exposition de Marc Ragouilliaux en co-production avec Claude Cieutat, du 14 décembre 2023 au 9 février 2024

La figure numéro 9, ce titre énigmatique dévoilera son objet à la fin de l’exposition le 9 février, lors de son décrochage.

Pour consulter les photos de l'exposition réalisées par le photographe Claude Cieutat, cliquer ici

Celle-ci porte sur la perspective, métaphore du devenir. A l’heure du retour de l'extrême violence liée à l’obscurantisme, le poète palestinien, Mahmoud Darwich, rappelait en 2003, que l’espoir est cette maladie incurable dont nous sommes frappé.es. Ce travail du négatif, porteur de dépassement, est là pour donner à voir la figure de l’altérité, coûte que coûte, au point de fuite de la perspective. L’exposition présente un ensemble de neuf figures composées, installées le long d’un axe sculptural parcourant les 22 mètres de la galerie. Leurs titres indiquent que ces figures entretiennent des relations entre elles qui représentent une condensation humaine placée dans une même perspective. 

“Puissance tranquille. Je supprimais le visible et l’invisible, je me perdis dans un miroir sans tain. Indestructible, je n’étais plus aveugle.”

Paul Eluard dans son ouvrage “Donner à voir”, accompagne ce projet consacré à tout ce qui lutte contre l’invisibilisation de l’humain.  (Donner à voir. Éditions Gallimard).

9 février 2024, à l'occasion du décrochage de l'exposition, découverte et remise de l’œuvre “Figure numéro 9” au Secours Populaire, suivie d'un concert de Sandra Rivas et Pedro Barboza. 

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Cette œuvre, dite la Figure numéro 9, constitue un triptyque. Il s’agit d'une forme de manifeste pour une nouvelle devise républicaine. Recouverte d’une couverture de survie pendant la durée de l’exposition, elle a été dévoilée le 9 février 2024. 

29. Horizon(s), une exposition  de Julie Rousse du 18 au 26 novembre produite par l’AMI* (Aide aux Musiques Innovatrices)

Permanence artistique en présence de Julie Rousse pendant toute la durée de l'exposition, accompagnée de visites commentées par l’artiste, en présence du responsable de la galerie et de la médiatrice de l’Ami.  

Le 18 novembre a eu lieu la première du festival des musiques innovatrices JEST (Jamais d'Eux Sans Toi) * avec 2 performances musicales le 18 novembre et une exposition * : Horizon(s), de Julie Rousse, Live et installation visuelle et sonore et Quel enfer, de Luci Schneider et Tyfen Guilloux, Live expérimental.

Le festival a eu lieu du 18 au 26 novembre 2023 dans différents lieux à Marseille, pour en savoir plus sur le JEST : lejest.fr

* Évènements et exposition produits par l’AMI dans le cadre du Festival JEST (Jamais d’Eux Sans Toi) en partenariat avec la Galerie ZEMMA. 

JULIE ROUSSE - HORIZON(S),  Live et Installation visuelle & sonore : Horizon(s) met en perspective un espace d’expériences sensorielles, sonore et visuelle, habité par le motif de l’eau - entre miroir agité et profondeurs insondables - de tout ce qui est mouvant entre soi et l’horizon et où se joue une confusion choisie entre la perception de notre environnement direct et sa transformation par le geste artistique. C’est cette image qu’appelle l’artiste : une rêverie dans laquelle elle convie les spectateurs à expérimenter la limite ténue, imaginaire qui sépare l’Ici-maintenant d’un Ailleurs-rêvé. 

Avec le soutien de la Fondation Camargo, du Centre National de la Musique (CNM) et de l’Aide aux Musiques Innovatrices (AMI).

QUEL ENFER ! Live expérimental, Duo d’improvisation expérimentale formé par Luci Schneider et Tyfen Guilloux, où se rencontrent bandes magnétiques, cordes amplifiées, direct radio, K7 et objets glanés. Musique magnétique, boucles drones ou scratching bruitiste, Quel enfer ! oscille d’un registre à l’autre, immersif ou électrique, débordant doucement vers de nouvelles interactions et terrains de jeu, rythmiques, visuels ou … aérobic !

Tout le programme et réservation du Festival JEST du 18 au 26 novembre : https://www.youtube.com/watch?v=mpp6H7NfntQ

https://galeriezemma.fr/clients/3313/fichiers/userfiles/files/Logo%20AMI%20rose.jpg https://galeriezemma.fr/clients/3313/fichiers/userfiles/files/PastedGraphic-2(1).jpg

28. Les racines des nuages, exposition collective du 15 septembre au 28 octobre 2023 sur deux sites, la galerie Zemma et le magasin Marianne Cat

avec Alix Arto Vestige - ETS, dialogue en volume ; Marthe Bianchi, Colonnes célestes ; Delphine Dénéréaz, Déambulations dans Marseille ; Sophie Estève, Panorama ; Inès Hadjhacène, Félicité.

Curatrice : Aude Ragouilliaux

Les Racines des nuages Ou, comment s’ancrer dans son territoire peut permettre de trouver sa puissance et sa liberté

La galerie Zemma réunit cinq artistes, inscrivant leur démarche dans le territoire provençal. Alix Arto, Marthe Bianchi, Delphine Dénéréaz, Sophie Estève et Inès Hadjhacène, cinq jeunes femmes vivant à Marseille ou ayant grandi dans sa région, marquées par sa lumière radicale, ses couleurs, son patrimoine et sa culture ouverte sur le bassin méditerranéen.  Cette exposition collective, évoque les racines de chacune, en quoi celles-ci nourrissent leur art et comment ces artistes les transcendent vers de nouvelles perspectives, ouvertes sur l’horizon de la mer. La Méditerranée, qui porte en elle autant de rêves que de drames. Des racines choisies : Marseille comme un lieu de vie, non comme une ville natale, mais qui permet de se projeter et inspire l’imaginaire. Ces artistes expérimentent des techniques et des matières, explorent l’histoire, les souvenirs, les icônes, l’intime, pour les convoquer dans leurs créations. Peinture, tissage, céramique constituent les trois formes d’expression des artistes exposées ici.  Des portraits de famille, une frise historique évoquant les arts et traditions populaires, des colonnes sculpturales, des briques des calanques et des grands tissages rappelant des déambulations dans Marseille, seront à découvrir dans cette exposition.

© Photo, Aude Ragouilliaux, 2023

Pour consulter quelques photos des œuvres exposées, cliquer ici.

Vernissage le 15 septembre à la galerie Zemma et chez Marianne Cat

Permanences vendredi et samedi de 15h à 19h et sur rendez-vous.

27. REALITE(S), Un autre regard sur les altérations mentales, une exposition d'Agnès Mellon et de Chrystèle Bazin , Artistes associés : Flory Brisset, Barbara Perraud, Lopty Sushi, H.D., Arthur C. Colombo du mardi 20 juin au jeudi 27 juillet 2023 

Pour consulter quelques photos de l'exposition

Les artistes ont organisé 5 rencontres le jeudi soir de 19h à 20h30 précédées d'une visite de l’exposition dès 18 heures. Celles-ci ont porté sur  «  Se rétablir plutôt que guérir ? »  autour de l’expérience du rétablissement en santé mentale avec le concours de Jean-François Dupont (CoFor), Aurélie Tinland, psychiatre (APHM) et Fabio Fioramanti, psychologue (Projet SIIS) ;  sur les “ Dispositifs innovants en santé mentale” Repenser un modèle de soin alliant soins médicaux, accompagnement social et parcours de rétablissement, avec Emma Beetlestone, psychiatre (Ulice, Leaf), Clotilde Masson (Projet SIIS), Camille Grégoire (Odamars) et le Lieu de répit (sous réserve) ; sur l’accompagnement par les pairs ou l’importance des savoirs expérientiels dans l’accompagnement des personnes concernées, des proches et des familles, avec Anita Lindskog, proche aidante, Yves Bancelin (Esper Pro) et Agnès Mellon, artiste et proche aidante ; une rencontre avec les artistes de l’exposition animée par Marc Ragouilliaux, avec Agnès Mellon, artiste plasticienne et photographe, Chrystèle Bazin, autrice sonore et Arthur C. Colombo, musicien et compositeur ; et la dernière portait sur une médiation culturelle réalisée par les pair des personnes en fragilité et des proches aidants exprimant leur expérience et leurs interprétations des œuvres.

Peut-on juger une société à la façon dont elle regarde ses fous ? *  RÉALITÉ(S) est un projet visuel et sonore des deux plasticiennes Agnès Mellon et Chrystèle Bazin, créé en résidence  avec Jeune Création à la cabane Georgina (à la madrague de Montredon à Marseille) en mai 2022. Une exposition où le dispositif des œuvres, surprenant, réflexif et ludique, questionne nos perceptions des altérations mentales. Dans leur proposition, ces deux artistes et leurs associé.es, donnent asile au(x) monde(s) fragile(s) qui résiste(nt) au-dedans et au-dehors. Ce projet artistique et participatif est nourri par un travail de recherche : résidences artistiques, ateliers d’expression et de création artistique impliquant des personnes atteintes de maladies psychiques ainsi que des proches. Il invite à déplacer notre regard sur les altérations mentales.
* Agnès Mellon

© Photo, Agnès Mellon, 2022

 

 

 

 

 

 

 

En partenariat avec La Fondation de France, la Région Sud Paca, La Marseillaise et Invenio Flory 

 

 

26.  Au-dessus du sol, depuis la surface de la Terre une exposition de Wendy Vachal, plasticienne

Exposition du samedi 6 mai au samedi 3 juin 2023

L'exposition imaginée par Wendy Vachal, s'est déployée dans l'espace de la galerie avec des installations conçues spécifiquement pour le lieu. L'artiste approfondit l'exploration de dispositifs dans lesquels l'eau est l'élément principal. L'eau et le temps semblent ici coexister dans un suspens quasi-existentiel comme s'il s'agissait d'une humanité sous perfusion. L’eau ne cesse de nous traverser, chaque goutte se compte en source et ressource. Par l’artiste, dans une mise en tension, l'eau fait son œuvre, invitant à faire son expérience sensible des pièces proposées. Les deux installations principales de Wendy Vachal étaient associées à un dispositif sonore, une vidéo et un ensemble de dessins sur le cycle de l'eau. 

© Wendy Vachal, breathing in - breathing out, 2023

25. Paradise now, une exposition de Georges Autard, peintre

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Exposition du 2 février au 29 mars 2023,  présentation d'une sélection d’œuvres de l'artiste pendant 2 mois avec 2 accrochages successifs. Vernissages les 2 février et 4 mars des deux volets de l'exposition, accompagnés par les performances des musiciens Hervé Passamar et Patrick Boronat.

Pour consulter le dossier de presse, cliquer ici

La galerie ZEMMA à Marseille a  présenté une exposition de l’œuvre de Georges Autard (né à Cannes en 1951) produite au cours des cinq dernières années. Son travail explore sous mille et une facettes une expression puissante et engagée. Paradise now, le titre général de l’exposition, a été emprunté par l’artiste à la célèbre pièce performée du Living Theater contre la guerre du Vietnam en 1968 et 1969. Georges Autard, à travers sa pratique d’un acte de peinture manifeste, a présenté une série de grands formats sur toile libre intitulée StatmentsLe  titre de l'exposition, au moment de la guerre en Ukraine, semble résonner comme un appel de l’artiste à la paix et à la civilisation. L’accrochage à la galerie Zemma, a présenté d’autres facettes du travail de l’artiste et notamment ses prosternations, une série de très grandes toiles de dix mètres de long réalisées selon les rituels des moines tibétains ainsi que d’autres œuvres de format plus modeste. Hervé Passamar et Patrick Boronat, deux musiciens performeurs, se sont associés à cette exposition avec comme projet une édition numérotée d’un coffret comprenant un disque d’artiste (Album Vinyle 33 tours ) et un livret de 10 tableaux de Georges Autard. Les deux performances sonores ont marqué le démarrage de cette exposition en deux temps dite Face A du 2 au 28 février et Face B du 4 au 31 mars 2023. 

24. Dansité, une exposition de Gaëlle Vaillant, plasticienne

Exposition du 25 novembre 2022 au 15 janvier 2023. Vernissage le vendredi 25 novembre 2022

Performance par l’École Nationale de Danse de Marseille, le mercredi 30 novembre 2022 à 18 h 30, entrée libre sur réservation

Gaëlle Vaillant déjoue le temps et l’espace en créant des environnements évolutifs, des parcours hybrides où interagissent mondes concret et abstrait. Dansité questionne la place de l’humain dans un environnement en transformation, où chaque échelle du vivant mérite une attention et se trouve en interaction permanente avec toutes les autres. Le titre de l’installation évoque la réunion d’une densité plastique avec la danse, incarnant le mouvement. Cet environnement, composé de sculptures translucides en relation avec une scénographie lumineuse, évolue au fil des mouvements et des déplacements du public. L'installation et les thématiques de l'exposition seront explorées et interprétées par des danseurs contemporains au cours d’un atelier de recherche mené par l’artiste avec les élèves de l’Ecole Nationale de Danse de Marseille. Ce travail fera l’objet d’une restitution sous forme de performance dansée le 30 novembre à la galerie Zemma. Ce projet a été réalisé avec le concours de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d'Azur, Carte Blanche aux Arts Visuels 2022. 

23. twill&tulle, peintures de Nicole HASSLER 

Exposition du 7 octobre au 12 novembre 2022, permanences vendredi et samedi de 15 heures à 19 heures ou sur rendez-vous : 06 74 89 02 54 

 

Pour sa première exposition à Marseille, la plasticienne franco-suisse Nicole Hassler, connue pour ses peintures monochromes dont le nuancier est emprunté à la cosmétique, a exposé des œuvres inédites.
 L’exposition “twill&tull” a réuni des œuvres bi-chromes sur papier, des wallpaintings monochromes éphémères, emblématiques des recherches en peinture engagées par l’artiste depuis plus trente ans ainsi que des peintures au format tondo. À la recherche d’une peinture ne faisant référence qu’à elle-même et à son histoire en tant que médium, Nicole Hassler peint pendant une dizaine d’année des monochromes noirs dont les pigments définissent la couleur. Elle rencontre à ce moment Marcia Hafif à New York en 1992, initiatrice de la radical painting et poursuit avec rigueur un travail de réduction de la peinture en utilisant les pigments que les cosméticiens ont longtemps élaboré. Nicole Hassler met ainsi en question dans son travail les notions d’apparence dans le sens philosophique, en s’approchant, par là même, au plus près des frontières de la peinture. Dans un nuancier varié issu de l’univers cosmétique, ces peintures sont à l’image de recherche plastique et objective de l’artiste pour qui ces médiums ne doivent être jugés uniquement pour ce qu’ils sont, en leur qualité unique de médium pictural, et sans aucune autre association d’idées. Dans le travail de Nicole Hassler, le regard du spectateur est toujours très sollicité, par ses expériences sur la couleur ou par les effets interactifs de ses peintures dans l’espace architectural. Pour Marseille, cité phocéenne, la plasticienne a choisi de montrer deux peintures murales dont les recettes sont ancestrales et dans les tons de rose. Le port lui fait penser à l’importation et c’est justement par ce biais que sont arrivés le rose à joue au 16e (longtemps utilisé à la Cour de Versailles) et la poudre de riz, traditionnellement utilisée au Japon par les geishas. La poudre de riz est un grand classique en cosmétique, utilisée par les geishas pour blanchir leur teint, elle était également prisée fin 19e pour rendre le teint plus mat. L’entreprise française de cosmétiques Bourjois a réédité la « Poudre de riz de Java » créée il y a 150 ans. Nicole Hassler réalise une intervention in-situ par le biais d’un wallpainting interactif, délimite un aplat de 1.20 x 7.00m, peint à l’aide de pigment « cosmétique » auquel le public sera invité à participer le soir du vernissage. Denis Simon, septembre 2022

Instants japonais, 日本、今このとき, Une immersion dans l’esthétique japonaise, Commissaire d’exposition : Sylvie Chevallier, 30 septembre au 2 octobre

Exposition-vente de dessins et peintures du Japon ancien de la collection personnelle de Sylvie Chevallier, présentée en France pour la première fois. Cette collection est composée d'œuvres uniques d’artistes japonais du 15ème siècle au 19ème siècle, représentative de différentes écoles de peintures. Sylvie Chevallier a vécu 15 ans au Japon, période pendant laquelle elle a patiemment collecté peintures et objets anciens. Cérémonie du thé par Adam Sômu Wojcinski, maître de thé de l’école Ueda Sôko. La cérémonie du thé ou chanoyu est une rencontre unique qui se concentre sur un thème lié aux saisons, à l’art et à la poésie. La pratique singulière d’Adam Sômu relève d’un art improvisé et spécifique au site dans lequel il l’exerce. Lectures de haïkus par Corinne Atlan et Sylvie Chevallier avec accompagnement musical. Corinne Atlan est auteure et traductrice. Elle a présenté et traduit plusieurs anthologies de haïkus, dont Haiku (folio bilingue, octobre 2022). Son dernier livre, Le pont flottant des rêves est paru le 21 octobre aux éditions La Contre Allée. Concert exceptionnel de koto (instrument à cordes de la famille des cithares) par Mieko Miyazaki, interprète et compositrice. Choisie par la Japan Foundation pour représenter le Japon lors de manifestations culturelles, ses concerts en Asie, en Europe et aux Etats-Unis la consacrent comme une concertiste de premier plan. Jeux de l’encens par Akitsu Orii, de l’école Shinoryu. La voie de l’encens s’est développée en même temps que la cérémonie du thé au Japon. La poésie et la littérature tiennent une place centrale dans la pratique des kumikô ou jeux de l’encens. La cérémonie du thé et le jeu de l’encens se sont déroulés dans l'installation Aire de repos & Accélération de Marc Ragouilliaux.

22. Aire de repos & Accélération. Une installation de Marc Ragouilliaux, Exposition du 26 août au 30 septembre 

© Aude Ragouilliaux 2022

Aire de repos pourrait être un espace réservé, de lâcher-prise. S’éloigner du feu et du bruit. Mais, la chaleur et la résonance sont telles que la coupure, la mise à distance et le repos deviennent encore plus improbables. Et l’autoroute, une perspective d’impasse. 

L’aire de repos est aux autoroutes ce que l’accélération est à l’atmosphère brûlante et à l’omniprésence d’un feu qui consument l’espoir. Au cours de cette accélération, le raccourcissement des temps sonne l’urgence pour tenter de répondre à la demande d’humanité.

La main invisible, dogme du laisser-faire, s’érige en pari irraisonné du risque et de la durée, véritable négatif des besoins de l'altérité, de la société et de sa biosphère. 

Dans l’installation Aire de repos, l’espoir est suspendu au centre de la pièce, trace de l’impossible et de l’inexploré* de l’esthétique et de la culture dans leur puissance d’agir. MR

* L’Espoir, Héraclite d’Éphèse. 

21. Fragments, des corps à fleur de peau. Photographies de Jean-Benoît Zimmermann et textes d'Aline Memmi, Exposition du 2 au 21 juillet 2022

© Aude Ragouilliaux, 2022

Pendant les Rencontres d'Arles, la galerie Zemma et les éditions Photo#graphie ont proposé un autre regard sur le corps, loin des clichés et des stéréotypes. 

Des photos argentiques en noir et blanc, prises au plus près des corps, d'hommes et de femmes, si près que le grain de la pellicule se combine à la texture des peaux pour en souligner la sensualité. Les jeux d’ombre et de lumière, les plis et les nervures, révèlent des paysages nouveaux où l'on finit par se perdre, laissant place à l'imaginaire. Et l'on s'amuse parfois à chercher quelle part du corps est représentée.

En contrepoint, des mots, des phrases, courtes pour la plupart, se sont accrochés aux images. Comme une sensation jaillie, une musique. Les mots devenus textes interrogent et composent à leur tour des fragments d'histoire. 

Deux écritures sur le corps, photographique et littéraire, des images et des mots, où se puisent émotion ou apaisement, récit ou poésie.

20. Absence sonore. Compositions et performances  de Bernard Pourrière et de ses invité.es, Exposition du 26 mai au 25 juin 2022, Performances musicales et poétiques les 29 mai, 3, 9, 10, 17 et 18 juin à 18 heures. 

© Aude Ragouilliaux, 2022
© Aude Ragouilliaux, 2022

Dans les partitions de Bernard Pourrière, le son est organique, corps sonore, figures spatiales et couleurs. Ses partitions s’orchestrent  comme mouvements en tensions entre domination de l'incertitude et tentative d'une réalisation inattendue. Deux partitions seront interprétées par les artistes invités.es par Bernard Pourrière. Rouge vif, le 29 mai avec Bernard Pourrière lui-même, Colette Colomb et Jean Yves Bosseur. Puis, Multipartition 6 avec successivement cinq artistes interprètes. Le 3 juin par Pierre Oliviero, musicien, le 9 juin par Dan Roth, musicien et plasticien. Puis le lendemain, le 10 juinLiam Witter également musicien-plasticien, investira l’espace de la partition. Le 17 juin Fabrice Metais, plasticien et Eric Houser écrivain et poète le 18 juin clôtureront le cycle d’interprétations de cette partition. Chacune des  performances aura lieu à 18 heures. Bernard Pourrière exposera simultanément à la galerie, une sélection d'une vingtaine de partitions graphiques                                                        de ses compositions, disponibles à la vente.  

Enfin, un CD reprenant l'ensemble des enregistrements des performances réalisées sur les deux partitions de Bernard Pourrière a été édité à l'issue de l'exposition et est en vente à la galerie au prix de 10 €.   

Pour consulter les photos de l'exposition, cliquer ici       

19. Deux complices de l’art construit. Estampes. Reliefs, Sculptures, une exposition de Vera Molnar et de Marie-Thérèse Vacossin en collaboration avec les éditions Fanal (Bâle, Suisse) du 31 mars au 21 mai 2022.

© Aude Ragouilliaux, 2022

Les œuvres de Vera Molnar et Marie-Thérèse Vacossin, deux amies, deux artistes majeures de *l’art construit*, sont réunies en une présentation d’estampes et de sculptures. Des estampes toutes issues de l’atelier Fanal (Bâle; Suisse) co-fondé par Marie-Thérèse Vacossin, qui réunit autour d’elle, outre Vera Molnar, nombre d'artistes prestigieux de ce mouvement (Morellet, Nemours, Cruz Diez…). L'œuvre de Vera Molnar, qualifiée  de “minimalisme à la française” par Serge Lemoine, s'inscrit dès les années 1950 dans la pratique de l’art construit, Marie-Thérèse Vacossin plus tardivement. De ce langage universel, par sa simplicité et sa rigueur, des lignes, des formes et de l’emploi de la couleur, Vera Molnar suivra le jeu d’une recherche du *moindre désordre*, Marie-Thérèse Vacossin, celui de *l’émotion et du sens*. Reconnues internationalement, leurs œuvres sont régulièrement présentées notamment à Art Paris, Bâle,  et acquises par de nombreuses collections publiques et privées.

Vendredi 13 mai, à 18h30 : Conférence d’Alexandra Deslys, chargée de la collection et des expositions à l'EAC, « L’espace de l’Art Concret, Vera Molnar, Marie-Thérèse Vacossin : le mouvement continu. »

Pour consulter les photos de l'exposition, cliquer ici

18. Sidération. L’acier, le faire et le reste, une exposition de Claude Cieutat, photographe, du 24 février au 24 mars 2022

© Aude Ragouilliaux, 2022

Pour l’Olympe, Héphaïstos patron de l’acier (sideros en grec) est surnommé le fils de lui même à l’image d’un feu continu, alimenté à la combustion sans fin de son environnement. Claude Cieutat, photographe reconnu du monde industriel, s’est plongé dans l’univers de l’aciérie et ses immenses complexes à travers l’Europe. Il nous livre à des structures aussi déterminantes qu’invisibles du commun des mortels. Claude Cieutat traite d’une sorte de transcendance de la forge. En véritable architecte de l’image, le photographe emprunte les traces du réel fantastique, en des lieux où la puissance et l’échelle abolissent le temps, beauté fatale de la tragédie. Mais son œuvre est tout autant sur la trace de la présence humaine, sur ce qui irradie du travail vivant dans l’immersion de la nécessité industrielle. Un regard unique sur ce monde inconnu qui gouverne l’actualité de notre devenir. Sans fatalisme.

Pour télécharger le carton d'invitation cliquer ici ; Photos de l'exposition

17. Après moi le déluge. Estampes, monotypes, installation, une exposition d'Annabel Schenck, artiste plasticienne et graveuse, du 10 décembre 2021 au 30 janvier 2022

à la galerie Zemma et Installation in-situ de l’œuvre "La porte des Docks" à l'angle du boulevard des Dames et de la rue de la République.

Pour visualiser le reportage réalisé le 13 janvier par Camille Bosshardt, journaliste pour France 3 PACA, cliquer ici

Le 30 janvier 2022 à 16 heures, restitution en public des contributions sur le thème “Plier, déplier”. 

Cette restitution a été suivie d'une performance de Pamela Küche à 18 heures.

© Annabel Schenck, 2021

Plier la Terre à notre bon vouloir,
Après moi le déluge...  (Hannah Arendt, La condition de l’homme moderne, 1958)
Ces emblèmes du repli-sur-soi et de privatisation du monde travaillent l’œuvre de gravure d'Annabel Schenck, souvent proposée en forme d'interpellation dans l’espace public. Comme une volonté de correspondance entre son œuvre et le public, Annabel Schenck et la galerie Zemma nous invitent à déployer nos liens à un espace-monde. Un appel à contribution d’ici le 30 janvier prochain, où chacun.e peut s'employer tant par : simple association d’idées,  photo, vidéo, peinture, texte, citation, musique, message enregistré, sons… et en tout domaine : scientifique, social, littéraire, poétique… ! pour faire entendre ce qui résiste à l’hubris, à la toute puissance de l'individu, à … l’aliénation du monde moderne fuyant la Terre pour l’univers et le monde pour le Moi *.   

Annabel Schenck plasticienne et graveuse, développe cet art classique de l’estampe dans une démarche de recherche contemporaine sur l’œuvre gravée.   L’artiste recourt dans ses travaux à des techniques mixtes, comme par exemple la photographie associée à la gravure dans la production de monotypes. Elle développe son art à la fois en aplats, en volume et à des échelles très inhabituelles pour l’œuvre gravée, avec la volonté de confrontations en milieux extérieurs et insolites. Ses thèmes de travail portent sur la durabilité des modes de vie actuels confrontés aux enjeux sociaux et environnementaux.  L’œuvre intitulée "La porte des Docks” réalisée à l’invitation de la galerie Zemma (réseau PAC, Marseille)*,  a été apposée de manière éphémère sur une façade murée et occultée de la rue de la République, lieu de fort passage d'une population attirée par les hauts lieux de la consommation du quartier de la Joliette. Originalement conçue pour une des voûtes extérieures du centre commercial des Docks, elle a été déplacée à l'angle de la rue de la République et du boulevard des Dames, face au rejet du projet par l’administration des Docks. L’œuvre d’Annabel Schenck ainsi rejetée devient à la fois, la « porte interdite » du centre commercial, en lisière de la voie publique et l’ouverture potentielle à une dimension poétique et politique en une figure inédite de création et déconstruction de l'hyperconsommation. Parallèlement, un second tirage de la gravure "La porte des Docks" est présenté à la galerie Zemma ainsi qu’un ensemble d’œuvres qui abordent la question de l’anthropocène. Ce second tirage de "La porte des Docks" exposé à la galerie Zemma, devient ainsi l’oeuvre-témoin de cette installation in-situ qui disparaitra au cours de l’hiver 2021 à la Joliette. 
Pour consulter des photos de l'exposition, cliquer ici

16. L’usage de Mons - essai de perspective, installation éphémère de Marc Ragouilliaux pour la maison de verre d’Henri Gueydan, architecte, à  Mons (Var) du 11 au 19 septembre 2021
pour télécharger le carton d'invitation, cliquer ici
pour consulter les photos de l'installation cliquer ici

15. Projeter, retenir. Essai de perspective, peinture, écrit, installation de Marc Ragouilliaux du 13 mai au 12 novembre 2021
pour consulter les photos de l'exposition cliquer ici
Cette exposition s’inscrit dans la 13ème édition du Printemps de l’Art Contemporain


© Marc Ragouilliaux, 2021
Pour télécharger les cartons d'invitation, cliquer ici

14.  Nulla Velata", une exposition de Daniel Roth, Peinture, sculpture. Exposition du 15 octobre au 15 janvier 2021

© Daniel Roth, 2020

"Au lieu de saturer le visible, Daniel Roth l’évide, le dépouille, le simplifie, donnant une qualité picturale au « je ne sais quoi et au presque rien ». Paradoxalement, l’on pourrait dire que c’est par son absence et son retrait que l’artiste est présent dans son oeuvre. Mais, ce presque rien "Nulla Velata" est pourtant comme le vide quantique, béant, vibrant et plein d’énergie." François Warin, juillet 2020.

Les photos de l'exposition
Pour télécharger le carton de l'exposition, cliquer ici  
Pour lire le texte sur le travail de Daniel Roth par Emmanuel Loi, écrivain et critique d'art, cliquer ici

 

13. The Third House Owner, installation multimédia de Chikako Watanabe, artiste japonaise vivant à Amsterdam, Exposition du 28 août au 24 septembre 2020

© Aude Ragouilliaux, 2020

Dans le cadre de Manifesta-Les parallèles du Sud , la galerie Zemma a accueilli cette exposition qui a permis à l’artiste de présenter un épisode symbolique peu connu aujourd’hui des liens entre Amsterdam et Marseille. Par un langage iconographique et scénographique d’une grande unité esthétique, l’artiste a réalisé une forme d’archive ouverte sur le monde contemporain.
24 septembre 2020 : soirée de clôture : rencontre avec Chikako Watanabe, traduction Akitsu Orii puis performance musicale de Dan Roth et Charles Karsenty.
Une proposition de Huis Marseille Museum for Photography en collaboration avec la Galerie Zemma.
Partenaires : Mondriaan Fund et VideoArtlab Amsterdam. 

Pour télécharger le carton d'invitation : cliquer ici
Photos de l'exposition : cliquer ici
Avec le soutien de la région SUD 

12.  Tonalités/résonance - Explorer les qualités inhérentes à la couleur, exposition de Jocelyne Santos du 12 mars - 24 juin 2020

Installation en hommage à Juan Miro, Jocelyne Santos, mars 2020
© Vincent Beaume, mai 2020

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Infinir, une installation cinétique de la session II du projet En perspective et Contre les murs (peindre), une forme à l'étude, deux installations de Marc Ragouilliaux du 22 février au 7 mars 2020

11. 28 estampes des éditions Fanal et les artistes du mouvement construit. Exposition du 7 novembre 2019 au 31 janvier 2020
Pour consulter « L’art construit, grammaire et caractères. », les 11 vidéos  projetées le 31 janvier 2020  cliquer ici
Photos de l'exposition : cliquer ici
Cliquer sur ce lien pour télécharger l'invitation au vernissage
Cliquer sur ce lien pour lire la présentation des éditions Fanal

Avec l’aimable concours des éditions Fanal de Bâle (Suisse), la galerie Zemma a présenté les estampes de cette maison d'édition prestigieuse, réalisées avec les plus grands artistes du mouvement construit. Parmi ceux-ci, citons François Morellet, Vera Molnar, Aurélie Nemours, Gottfried Honegger, Julio Le Parc, Carlos Cruz-Diez, Pol Bury, Geneviève Claisse, et Marie-Thérèse Vacossin, fondatrice des Editions Fanal.
Une merveilleuse opportunité pour accéder, par des gravures et des sérigraphies remarquables, à des oeuvres d’artistes de renom.
Pour la dernière soirée de l’exposition,  la Galerie Zemma a invité Lucie Grugier à interpréer différentes pièces pour violoncelle du 17ème siècle à nos jours. Ce concert a été suivi par la projection de 11 vidéos sur les artistes du mouvement construit afin de mieux connaître leur personnalité créative au sein de mouvement,

© Lucien Mandalian, 2019 

10. [En perspective II]. La nature du Monde. 100% recyclé, une exposition de Marc Ragouilliaux du 23 aout au 24 octobre 2019.

Une dizaine de contributions on été présentées au cours d'une soirée, le jeudi 24 octobre 2019.
Cliquer sur ce lien pour lire l'appel à contributions 

Penser mobiles. Proche du Vieux Port, la galerie Zemma forme un espace en retrait, au cœur de Marseille. Marc Ragouilliaux y présente deux installations principales à base de plaques d’aluminium recyclé,  l'une, un mobile monumental, l'autre une installation composée de plaques d'aluminium disposées de façon mobile ou fixe.L’espace fini de l’Anthropocène. La « Nature » n’existerait plus, dépassée par l’expansion vertigineuse de l’abstraction de notre environnement. Un conflit aigu pour notre capacité raisonnable à l’ère de l’Anthropocène . Une proposition qui s’éclaire ici d’une maïeutique où la lumière n’est pas transcendance mais un Infinir, exprimé d’après Jean Cavaillès en une construction progressive continuée . 

Pour lire le communiqué de presse de l'exposition. Pour lire le texte d'introduction à l'exposition présenté au vernissage du 22 aout 2019.

© Lucien Mandalian, 2019

9. Quelques pièces en forme de suite / Několik figur formou své psoloupnosti, une exposition d’Iveta Duskova du 16 mai au 4 juillet 2019
Cette exposition a été associée au Parcours de l'art Contemporain 2019 organisé par l'association Marseille Expo.

Accéder à la matière, c’est accéder à son propre corps. Iveta Duskova semble traversée d’un art de l’écoute et de la transmission des énergies terrestres prisonnières, de cette gravité qui nous soude à cette matrice, la Nature, si fréquemment déniée dans notre quotidien, à la fois autonome et en nous-mêmes. « Entre le visible et l'invisible, j’invite le spectateur à une observation attentive de l'œuvre. Les pièces ne se révèlent pas d'emblée au regard ». Iveta Duskova  

 

 

 

© Lucien Mandalian, 2019

8. En perspective, des mesures et des sens, par Claude Cieutat, photographe et Marc Ragouilliaux, plasticien, Exposition du 15 mars au 9 mai 2019

Dernière soirée de l’exposition, le 9 mai : Pascal Delalée, violoniste, a proposé une improvisation musicale à propos de « En perspective… ».

Pour télécharger le carton d'invitation, cliquer ici et pour lire le texte de présentation de l'exposition, cliquer ici
Le point de fuite ouvre sur l’objet, le mur, la pièce, sur l’empirisme du présent et la circularité dans le lieu de la galerie.
Infinir…, le mouvement incessant de la puissante plasticité d’être vivant.
 

 

© Lucien Mandalian, 2019

7. Les temps d'OKUYAMA, par Kimihito OKUYAMA, exposition du 17 octobre 2018 au 17 janvier 2019

Pour consulter le texte de présentation de l'exposition : cliquer ici

Cette exposition a reçu le label "Japonismes 2018"

 

© Lucien Mandalian, 2018

6.  Lien de nature ; un étrange familier de Charlotte Dugauquier, plasticienne et Michel Loye, photographe, du 18 mai au 5 juillet 2018
Le 7 juin, la Galerie Zemma a dévoilé une œuvre sonore spécialement conçue pour cette exposition par Ritta Baddoura, poétesse et psychologue.
Pour consulter le texte de présentation de l'exposition : cliquer ici
Pour imprimer le carton d'invitation : cliquer ici

 
© Charlotte Dugauquier, 2018  © Michel Loye, 2018

5. La première boîte 1963-1968, une exposition photographique de Léon Claude Vénézia
sur une proposition de Vincent Beaume, du 16 mars au 3 mai 2018.
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© Aude Ragouilliaux, 2018

4. Stupéfaction - l'appréhension d'un lieu. Une installation - Encres et Rakus de Patrick de Wilde
Exposition présentée en lieux multiples du 20 octobre 2017 au 15 février 2018.


© Patrick de Wilde, 2017

3. La commande et le reste. Un photographe dans le milieu industriel, 
une œuvre photographique de Claude Cieutat. Exposition du 24 novembre 2016 au 9 février 2017
Le 9 février 2017, lors de la dernière soirée de l'exposition de Claude Cieutat, présentation d'un Objet social de transition réalisé à partir des contributions d'Alain, Agnès, Arlette, Claude, Dominique, Guy, Jacques, Jérôme, Louis, Patrick, Sophie ...
Le recueil des contributions est en vente au prix de 10 € sur demande par mail galeriezemma@gmail.com
 


                                                           
©  Aude Ragouilliaux, 2016                                                                                                                      

2. L' or en bleu, exposition de Marc Ragouilliaux, du 21 mai au 31 juillet 2016.
Les citations du jardin ont été mises en ligne le 21 juin 2016.


© Aude Ragouilliaux, 2016

1. Le Chemin, exposition photographique de Vincent Beaume, 5 décembre 2015 - 27 février 2016

 © Aude Ragouilliaux, 2015